Le Conseil des ministres du Gouvernement du Québec a procédé à la nomination de Kathy Baig à titre de directrice générale de l'École de technologie supérieure (ÉTS).
Membre de l'Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ), fellow de l'Académie canadienne du génie, diplômée de Polytechnique Montréal et de HEC Montréal, madame Baig a notamment été présidente de l'OIQ de 2016 à 2022. Plus récemment, elle a évolué au sein de la firme de génie-conseil international STANTEC à titre de vice-présidente au développement et au positionnement.
Très impliquée dans son milieu et reconnue comme une des ingénieures les plus influentes au Canada, madame Baig a reçu une multitude de prix et distinctions. En 2021, l'Université du Québec, sous l'égide de l'ÉTS, lui a attribué un doctorat honoris causa en reconnaissance de son engagement envers la profession d'ingénieur. En 2023, l'Université Concordia a fait de même. Elle a aussi siégé à de nombreux conseils d'administration, dont celui d'Ingénieurs Canada, de VIA Rail Canada, de Fondaction, de Nav Canada, de l'Institut sur la gouvernance d'organismes privés et publics (GOPP) et de l'Institut national d'optique (INO).
« C'est avec enthousiasme et admiration que je m'inscris dans une lignée de dirigeants qui ont su promouvoir l'excellence et assurer la mission essentielle de l'ÉTS pour le développement économique et technologique du Québec. Depuis plusieurs années, je consacre mes efforts à promouvoir la profession d'ingénieur. Mon engagement envers le génie et la société est plus fort que jamais et pourra s'épanouir à l'ÉTS afin d'encourager la formation de talents d'exception, de propulser la recherche et l'innovation comme vecteurs de solutions aux nombreux défis de la société, en plus d'amener l'ÉTS vers de nouveaux sommets », a affirmé Kathy Baig, nouvelle directrice générale de l'École de technologie supérieure.
La candidature de madame Baig avait fait l'objet d'une recommandation de l'Assemblée des gouverneurs de l'Université du Québec le 1er mai dernier. Elle entrera en poste le 10 juin prochain pour un mandat de cinq ans.
Source : Université du Québec