Infrastructures récréatives et sportives : une seconde phase d'aide demandée

À l’instar d’autres Villes et Municipalités du Québec, la Ville de Saint-Georges s’est dite vivement déçue quant à la décision du ministère de l’Éducation de ne pas retenir son projet d’infrastructure sur son territoire.

« Notre projet de soccerplex répond parfaitement aux exigences du Programme d’aide financière aux infrastructures récréatives et sportives (PAFIRS). De plus, la construction de cette infrastructure bénéficie de l’appui des gens d’affaires de notre milieu qui ont déjà démontré leur intérêt à s’impliquer financièrement. Non seulement ce projet fait consensus, il y a un véritable momentum derrière celui-ci qui provient autant du milieu municipal, de la communauté des affaires que des organismes sportifs de la région. Enfin, les besoins sportifs et événementiels ont été démontrés à de nombreuses reprises », souligne le maire de Ville de Saint-Georges, Claude Morin.

 

Celui-ci déplore que les régions soient actuellement défavorisées au détriment des grandes villes et que seuls les jeunes dont les parents sont plus aisés peuvent se permettre d’aller suivre un entrainement à Lévis ou à Québec, par exemple.

 

Le maire estime que si les demandes présentées par toutes les Villes dans le cadre de ce programme ont dépassé l’enveloppe accordée par le Gouvernement du Québec, ce dernier devrait accélérer le pas afin de créer une phase 2 audit programme.

 

Source : Ville de Saint-Georges