Soudure, forage, coffrage, excavation et bétonnage : plusieurs types d’interventions peuvent être pratiquées en contexte immergé. Chaque chantier comportant ses particularités, de nombreux corps de métier doivent être maîtrisés par les scaphandriers. Plein feu sur les défis et risques du métier !
Une baladodiffusion de Constructo, en collaboration avec MVC Océan.
Dans ce premier épisode, nous discutons de cette profession exigeant à la fois une grande polyvalence et une expertise bien particulière. Des travaux réalisés sur les piles d’un pont à l’inspection d’un réservoir d’eau potable, en passant par la remise en état de lignes d’aération à l’intérieur d’étangs aérés, partout où ils opèrent, les scaphandriers sont confrontés à de nombreux risques devant constamment être surveillés afin d’éviter le pire.
Pour mieux saisir les défis au cœur du métier, nous recevons dans nos studios Kéven Milot, directeur de l’estimation ainsi que propriétaire de MVC Océan et d’Aquapera, et Louis Pratte, chef d’équipe scaphandrier chez MVC Océan.
Avec eux, nous abordons des questions telles que :
- Pour quels types de travaux ou d’interventions fait-on appel aux scaphandriers ?
- En milieu submergé, tous les corps de métiers peuvent-ils être réalisés par un seul scaphandrier ?
- Quels sont les défis liés à cette profession ?
- Quels conseils pourrait-on donner à un entrepreneur qui nécessiterait le service de scaphandriers pour un chantier, ainsi qu’à une personne désirant devenir scaphandrier ?
« La préparation consiste en 75 % du travail. Avant d’arriver sur le terrain, tout doit être préparé. Il faut connaître les lieux et toutes les conditions afin de ne pas avoir de surprise. La préparation d’un bon plan de plongée est essentielle dans notre métier. »
- Louis Pratte, chef d’équipe scaphandrier chez MVC Océan.