À l’aube de sa retraite et sans relève pour reprendre son entreprise familiale en climatisation, Diane vend celle-ci à de jeunes employés. Cette histoire, pourtant bien partie, tourne vite au vinaigre. Mais comment assurer qu’un transfert d’entreprise se déroule sans embûche?
Une baladodiffusion de Constructo, commanditée par Cautionnement Expert et PMA Assurances.
Dans ce premier épisode, nous décortiquons l’histoire fictive de Diane, propriétaire d’une entreprise en climatisation depuis une trentaine d’années et se retrouvant sans relève pour reprendre l’entreprise familiale. Celle-ci accepte qu’un groupe de jeunes employés rachète sa compagnie et, avec ses employés, engage un avocat non spécialisé en construction pour effectuer la transaction.
Avec notre invité, Me Philippe Farley, avocat et associé principal pour la firme Farley Avocats, nous discutons des risques au cœur de cette transaction, des façons d’éviter un rachat désastreux et des clés pour un transfert d’entreprise réussi.
En sa compagnie, nous aborderons des questions comme :
- Quels dangers guettent un entrepreneur qui engage un avocat n’étant pas spécialisé en construction lors d’un transfert d’entreprise ?
- Quelles informations devrait-on vérifier avant de faire affaire avec un avocat ?
- Quels sont les recours d’un entrepreneur exposé à ce genre de situation ?
- À quelles conséquences s’expose un entrepreneur décidant de conclure ses contrats même s’il ne possède plus sa licence RBQ ?
- Quels sont les éléments les plus importants à considérer lors du transfert d’une entreprise ?
« Du jour au lendemain, les nouveaux entrepreneurs qui viennent de se refinancer à la banque, de réhypothéquer l’immeuble et d’investir des montants importants en capitaux pour acquérir d’autres employés afin de croitre, se retrouvent au point de départ. Ils ne peuvent plus travailler puisqu’ils n’ont plus de licence RBQ. »
- Me Philippe Farley