L’Aromate : un gout de convivialité

Ce projet est estimé à une valeur d’environ 60 millions de dollars. Les travaux, qui ont commencé cet été, devraient se terminer en 2022. Sa réalisation a été possible avec l’apport de CCM2 en architecture, de Génécor en ingénierie mécanique, de EMS en ingénierie de structure et en génie civil ainsi que de Nvira/Terralpha en aménagement paysager.

Ce sont les espaces communs du bâtiment de sept étages qui constitueront l’identité de ce projet : « Ce que l’on désire, c’est que lorsque l’on questionne les résidents à propos de l’endroit où ils habitent, qu’ils évoquent L’Aromate. Notre but premier, c’est qu’ils considèrent les lieux communs comme une extension de leur unité locative », souligne Éric D’Amours, directeur des ventes chez Immeubles Roussin. Ces derniers seront donc nombreux, comprenant un salon de détente d’une superficie faisant 3200 pieds carrés, une salle d’entrainement, une cour intérieure et une terrasse sur le toit.

Le salon de détente, en plus d’avoir une grandeur dépassant la moyenne, comprendra une cuisine, un coin foyer, une salle de loisirs, un espace de travail ainsi que des salles de bains. Dans la cour intérieure se trouvera une piscine. Sur la terrasse siégeant sur le toit, un jardin d’aromates sera disponible pour tous, tandis qu’un coin potager permettra à ceux qui en feront la demande de cultiver leurs propres plantations. « Ces nombreux espaces permettront aussi aux résidents ayant habité dans une maison de ne pas souffrir d’un manque d’espace », ajoute monsieur D’Amours.

L’Aromate sera aussi inspiré de la certification Well afin de bonifier ses impacts sur la santé et l’environnement. « En plus des nombreux espaces communs dont bénéficieront les résidents, plusieurs autres éléments font l’objet de réflexions. La mise en place d’incitatifs à l’activité physique, d’un espace permettant l’entretien de vélos et d’autres équipements sportifs ainsi que l’installation de bornes électriques sont envisagées afin d’inciter davantage les résidents à adopter un mode de vie sain et actif », explique Éric D’Amours.  Un parcours sans contact permettant aux locataires d’accéder à leur unité sans devoir utiliser leurs mains grâce à des portes automatiques serait lui aussi discuté. « Ce n’est pas une réflexion prioritaire, mais c’est une intention qu’on entretient en raison de la situation actuelle », explique-t-il.