Dans la profondeur des eaux, le scaphandrier peut faire face à des imprévus. Heureusement, des outils technologiques se développent pour accomplir les tâches les plus complexes. Mais les meilleures technologies font-elles le poids versus l’expertise de l’homme?
Une baladodiffusion de Constructo, commanditée par la CNESST.
Nous discutons, dans ce balado, avec André Viel, technicien en génie civil chez Hydro-Québec et qui a été scaphandrier pendant plus de 15 ans. Celui-ci nous explique la façon dont un drone sous-marin permet de ne plus exposer autant de scaphandriers aux risques de leur métier. Ensuite, madame Fatim Diallo, conseillère en prévention-inspection à la CNESST, brosse un portrait des risques encourus par les scaphandriers.
Plus précisément, nous aborderons des questions comme :
- Quels sont les risques liés au métier de scaphandrier?
- Comment peut-on éviter les accidents?
- Pourquoi Hydro-Québec a décidé d’adopter l’emploi du drone?
- Est-il aussi efficace que l’intervention de scaphandriers?
- Ce métier serait-il appelé à disparaitre?
« Dans le métier de scaphandrier, il faut avoir une certaine facilité à être confortable dans l’inconfortable. Ce n’est pas naturel pour l’être humain d’être sous l’eau, donc il faut être capable d’apprivoiser ces circonstances et de se déplacer de sorte à être à l’aise. »
- André Viel