Bien qu’un record d’heures travaillées fût anticipé pour commencer la nouvelle décennie, il faudra inévitablement revoir les prédictions à la baisse. L’année 2020 s’annonçait pourtant prometteuse, que l’on pense aux grands projets institutionnels ou aux investissements majeurs à venir dans nos infrastructures routières. Sans mentionner les divers projets de réseaux structurants de transport en commun qui pointent à l’horizon. Mais ce n’est que partie remise ; une fois la tempête passée, le secteur de la construction tournera à plein régime et aidera l’économie québécoise à reprendre son élan.